Un dernier pour la route…

Posted by Mama on 16 juillet 2012 | Subscribe
in Mama joue au poker..., Mama vie et oeuvre...

Ce con-flit par blog interposé me fatigue et j'y met un point final...Trop d'énergie dépensée dans ce dialogue de sourds stérile et dérisoire et j'en ai peu en ce moment... Hier encore: "Est-ce être un cuistre ou un goujat de se défendre. Juste se défendre, de celle qui t’insulte car tu la déranges? Parce qu’elle était là avant toi? Je ne le crois pas et je partage mon avis." Pfffff, mauvaise lecture, projection pure et une auto-victimisation qui a des relents de... Bref!!!Quelques vers seront ma conclusion, que ma future épouse Dame Zara a tenu à illustrer à sa façon, merci à elle pour ses choix judicieux.   Mon choix sera donc simple: l'indifférence, L'arme à brandir avec intelligence, Face aux attaques qui sentent le rance, D'un vieux pubard en mal de reconnaissance   Je te laisserai te branler dorénavant, Mais Dieu me tripote quel spectacle navrant, Sur ta prose ampoulée et tes souvenirs: Je ne sais s'il faut en pleurer ou en rire.   La bourgeoise n'a peut-être pas de couilles Mais quand on se reverra je te dérouille Pour que ces propos qui sentent le gros frustré Retourne dans l'anus qui les a engendré.   Que ce soit en french ou dans toutes les langues, Tes mots te reviendront comme un boomerang, Ta langue, Vilain, est celle d'une pute, D'un lécheur de culs qui n'a rien dans le fute.   Je ne répondrai plus à tes provocations, Tes bassesses, tes viles insinuations, Tes attaques, tes insultes, tes agressions, Tu peux te les carrer bien profond dans le fion.   Je m'en retourne vers mes frères consanguins, Ceux que j'ai plaisir à lire chaque matin, Et te laisse baver pauvre vieux fantoche, Confit dans ton aigreur, ta prétention: moche.   Un dernier mot par L'Ami Rincy inspiré: Comme chacun le sait c'est mon Maitre à penser, Je ne pouvais  sans le décevoir te quitter, Sans te proposer d'aller te faire niquer.   Voilà les Amis, sachez donc que si désormais je laisse le Môssieur déblatérer dans son coin, ce ne sera pas de la lâcheté ou du manque de répondant, mais juste une indifférence instaurée par soucis de calme et de sérénité. D'autres prendront sûrement la relève si trop de méchancetés sont émises, j'en suis certaine. Pour finir en chanson, pour montrer que je ne suis pas rancunière, il a le droit lui aussi à sa parodie 🙂 Dans son pt’it monde étriqué Il s'ennuyait l'hiver, l'été Seul comme un vieillard miteux Le vieux. Il avait pas encore de blog pour l’occuper, que son vieux dogue Il se faisait chier un peu Le vieux. L'été il allait à la mer Tu vois c'était pas la misère Sandy lui servait d’infirmière La brave tite mère. Et puis un jour l’a décidé De remonter l’cours des années Voulait devenir un vrai blogueux Le vieux. Toute la journée au boulot Il dégueulait des tonnes de mots Il est plutôt du genre verbeux Le vieux. Ces papiers étaient monotones Il attaquait les mêmes personnes Ça n'le rendait même pas heureux Je crois, le vieux. Dans son langage toujours pompeux qui pue toujours le « moi je » Il s’écoutait écrire un peu Le vieux. Nous, on connaissait l’ennemi Tout y passait, Mama, Rincy Il était pt’être un peu envieux C’est sûr le vieux. Il a tenté d’ nous diviser Mais faut quand même pas déconner Faut pas nous prendre pour des pions, Tu sais, sale con! Dire que j'ai passé des soirées A tenter de lui expliquer Il refusait d’ouvrir les yeux Le Vieux. Il aurait pu c'était pas malin Faire avec nous un bout d'chemin Ça l'aurait p't'-êt' rendu heureux Le vieux. Mais quand on est si arrogant On n'a pas le cœur assez grand Pour y loger tout's ces chos's-là Tu vois. Maintenant qu’on est en conflit soutenue par Ray et par Rincy J’voudrais qu’il crève de sa prétention Vieux con 🙂            
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