Voyage chez les homos I …

Dédicace à Stéphane de Groodt,  à tous les amoureux de la langue française et une balade autour des tombes du Cimetière Montparnasse où j'ai appris à faire du vélo, ce qui je vous le promets n'a rien à voir avec le titre ... Non je ne vous parlerai pas d'un quelconque périple ovaire the rainbow et ne dédierai pas ce post aux mangeuses de céréales de tous poils, l'inverse marche aussi, sanglées dans leurs polaires Quechua, quel choix. Non je retourne au charbon et ferai feu de tout bois, puisqu'il y a un poil... On signale un séisme Bienvenüe dans les riches terres de Montparnasse, dont l'épicentre pour rester dans les céréales, se situerait dans le Simetière où est le King, mais lequel ? C'est donc mes Saint Saëns en éveil que je Sautet dans ma Citroën, qu'importe Lamarck pourvu qu'on ait de Bonnassieux,  jetant ma Cravenne A terre. Oui je ne voyage pas en Falcon moi. Je Carmet au passage pour un Rossif, un if de roses, moi j'Hachette toujours des fleurs, Lauzier c'est bon pour les paniers. Le temps d'avaler mon sandwiche, Dupin et des rillettes de la Sartre acheté chez le Boulanger et l'Affaire était rondement menée, Poincaré, par mon chauffeur Dreyfus. Il me déposa comme avant la Bataille près de la Fuentes, pas de fables Ya que la vérité qui compte, Mucha son nez, cela Duras à peine quelques secondes : Alfred est comme Fernand il Nathan pas, il se Barre. Un Métayer Maupassant au Dutourd du chemin, ne voulant faire de Bourdelle lui demanda, oui Larousse est passée à la 3e personne, certains se cantonnent au 2e sexe il ferait Beauvoir que je ne puisse Reiser, elle lui demanda donc : " Hey Man Ray est-il responsable de ce boucan, ou Joëlle a-t-elle encore crevé son oreiller ou Mourousi son oreillette ?" Il sembla enquiQuinet, juste un brin saucissonné, comme dirait Bridoux, dans son bleu. Il commença en anglais " No Chedid'nt..." Comme j'insistais un peu Rude en demandant où, ce Conneau me répondit : "Danton ..."  J'eus fort envie de le Castro, mais magnanime me contentais de l'envoyer se faire voir, nom d'un cornac, dans le Beri où Kate Barry. Je faillis abandonner et partir boire un Demy dans un Seberg café, mais une nouvelle secousse m'éloigna de ma mousse, me flanquant une sacré frousse, juste en passant devant Gainsbourg dans sa housse. Un Coli piégé ? J'en perdais mon Zlatin, je n'allais pas abandonner maintenant ce serait un Combes!!!  Je décidais à la Uchard de continuer en Solo : un vrai travail de journaliste qui me vaudrait sans doute de passer sur Deschanel prestigieux comme Gannal plus, Chazal n'a qu'à bien se tenir. Je croisais Busty un Cabat à la main et Robert au vent, écrivant un Billetdoux à l'âme de Beckett. Je déchiffre, j'ai des lettres, "En attendant god ô". Je m'éclipse montrant à la Belmondo. ( Bon anniversaire Busty !!!!) Tristan deuil Tzara fleuri la tombe du Cros, avant de partir dans le Vercors poursuivre la tâche de son Champion : un stage de bédos roulés sous les Hessel. Un perroquet s'envola au loin, Arago murmurai-je lentement, à l'unisson de Baudelaire dont le go est lent. Mais ici il y a surtout des pigeons et les Pigeons roucoulant pour l'éternité.             D'un pas rendu Proudhon j'avançais entre les pierres tombales, je ne peux tous les citer même si ils en ont le droit : avertie par Reggiani je vis le Wolff ; dans un Carré Laval et Vergès mettaient une ambiance de Netter ; Fantin-Latour, Desnos et  Ricardo furent mon clin d’œil Poker. Avec de L'ordre et de la méthode veni, Lebovici, vinci, je fus Verny et me vis enfin Rendu devant une pierre qui tréSautai, comme le pire des desserts anglais la Gely. Ce ne me fit Michaud ni-froid, enfin si un peu, mais on peut pas avoir le beurre du Cremer et l'argent du Crémieux et pour ne pas Derogy à la règle je m'approchais. Un charmant Gay, on y revient, venu de Sablon à côté de Marseille avec son compagnon Gérard pour visiter le salon du Bourget engagea la conversation : "C'est Maran" me dit-il "Je suis pas Rouillard mais le cercueil, Leblanc là, il bouge depuis hier". Je compris aussitôt sur Léclant géant de mon cerveau que le Cortazar qui n'en était pas un, bougeait : il était en Veil et se retournait dans sa tombe d'humeur Boudard, voyant tout en Noiret ou en Schwartz pour les germanophiles. Comme un Pialat hué, un Muray sans tête, un camping sans Trigano, un Enrico sans accent ou un Roda sans Gil, il Roty-ssait dans les affres d'Adès dans les Flammarion ou flammes à rillons pour les charcutophiles, de sa hargne, de son courroux... coucou... "Kahn cela va-t-il cesser, Revel relevez vous, Montez au créneau, je comprends La colère de Ionesco, Sabatier ils me brisent Les noisettes, sauvages !!! Léotard il n'est pas trop tard prend exemple sur Léautaud !!! Un Ruby dans le nourrain pour chaque faute corrigée, sus aux homos !!!" Même si sa dernière réplique comportait une certaine logique physiologique que n'aurait pas Resnais Jussieu, ce discours haineux me rapellait un Wallon en colère ...Devint-on adepte de Pétain en vieillissant ? Labori plaida sa cause et me fit un petit Topor : il parlait des homonymes et des fautes Oury-bles qui le faisaient tourner en Giraud-ette, lui collant même les glandes ce que confirma Bartholdi le cousin de Bartholin. Comme une bonne Poiret je promis d'y remédier, regardais ma montre à Grousset,  quittais l'Hermite rassuré  pour partir vers une Sainte Beuve-rie et dès demain Gobley de Guronzan en main et même si j'ai la Berge, enfin la gerbe, elle sera déposée aux pieds  de ce grand Littré !!! La suite demain donc, Kessel-ra sera ...